CE QU’ON MANGE AU JAPON – Street Food
La street food, omniprésente, à des prix toujours abordables, mais attention, il est souvent interdit de manger en marchant, voire de rester devant le stand pour manger. On essaie de se mettre de côté, de manger discrètement, ou de profiter de quelques sièges posés à côté du stand, on ne s’y attarde pas.
Allez, on commence avec la préparation des takoyaki (boulette de pâte contenant des morceaux de poulpe, cuites dans des moules en demi-sphère), ici à Nishiki à Kyoto. C’est brûlant, assez copieux, et on peut choisir l’assaisonnement.
Autre spécialité incontournable, les taiyaki. Des gaufres en forme de poisson, qu’on trouve avec différentes garnitures, l’incontournable pâte de haricots rouges (notre préférée) qui peut être agrémentée d’un gros morceau de beurre (on a testé, aucun intérêt) ou une crème genre crème pâtissière. A chaque fois, nous nous sommes brûlés le palais… Pour info, à ce jour, 300 yens c’est à peine 1,80 €…
Le taiyaki n’est pas une simple gourmandise, c’est un symbole de chance !
Les dangos, des brochettes de mochis légèrement grillés et recouverts de sauce soja. Une brochette par personne suffit. Au-delà, c’est de la gourmandise.
Autre incontournable, les onigiri (prononcer Oniguili). Bon c’est du riz avec une farce (poulet, thon, sauces, herbes…) et une feuille de nori. C’est bon mais pas de quoi se relever la nuit. Cependant il y en a partout, notamment dans les Konbini (supérettes qui fleurissent tous les 100 m). Le prix est dérisoire et c’est bien bien bourratif (idéal pour si vous êtes fauchés)
Alors le Japon, c’est pas seulement le Pays du Soleil Levant, c’est aussi le Paradis des Poulpes, Seiches et autres Calamars. On regrette de ne plus avoir de place pour goûter à tout.
Toujours sur les marchés, les incontournables brochettes de bœuf Wagyu, dont le boeuf de Kobé est une variété, se trouve en abondance, présenté en très très fines lamelles, cuites sur une plaque, mais au chalumeau. Le goût est indescriptible, mais vraiment. C’est simple, vous fermez la bouche et ça fond tout seul, ça a une texture de beurre, un arôme de noisette…. j’en salive encore… c’est à tomber de ravissement. A refaire dès que possible.
Parmi les « bizarreries » qui ont attiré notre attention :
Les brochettes de fraise sont presque partout, recouvertes d’un glaçage ou nature…